Choosing my Avatar: Master or slave?

YUVA together with Judy Johnson is organising a workshop on the 3rd October 2015 under the theme: Choosing my Avatar: Master or slave? This conference will be held at Brahma Kumaris Centre, Global Peace House in Khoyrati as from 12.30 p.m to 4.30 p.m.

Judy Johnson, consultant and coach in the field of leadership development and organizational effectiveness from Canada invites you all to join her for a workshop that will help you to better choose you Avatar. YUVA is collaborating with her as it will benefit all our youngsters in exploring the ways and means to go beyond all your limitations and barriers in achieving excellence in life.

Judy works in the field of organizational effectiveness and leadership development. With a background in adult education, intercultural effectiveness, leadership and team development, she specialises in facilitating clarity in complex organizational and group situations. She assists in uncovering the inherent strengths in organizations and individuals, enhancing their ability to create and sustain focused, purposeful and positive directions.

Judy is adept in the areas of process facilitation, team development, principled negotiation, conflict resolution, experiential education design and delivery, needs assessment and program evaluation. She works with government, private sector and community-based programs and organizations in international and intercultural settings. Listed are examples of recent projects.

Judy has the ability to select and blend appropriate process tools to create clarity in groups, focus the will of the group in a common direction and enhance relationships and commitment to a collective endeavour. Through the use of silence, teaming strategies, reflective inquiry, and experiential activities, Judy uses an appreciative inquiry approach to facilitate strategic planning, teambuilding and conflict resolution retreats to strengthen organizational and group effectiveness. She facilitates consensus-building gatherings between multiple stakeholders in diverse contexts.

She has also been working directly with leaders at all levels of organizations in a one on one basis to support values-based leadership approach. In the coaching role, she acts as a sounding board and mirror to support and challenge assumptions guiding leadership approaches. In a facilitator role she works with leadership teams and/or develops programs to enhance leadership within the organization. She brings a perspective rooted in the principle that it is individual change that creates systems change and recognition that when leaders are focused on a purpose greater than profit or products will their organizations thrive.

Judy has designed and facilitated intercultural effectiveness orientation and debriefing sessions for Canadians travelling overseas as CIDA-sponsored professionals. Based on her own overseas project management work in India, Latin America and Southeast Asia, she also brings the intercultural effectiveness paradigm and approach to her work with interdisciplinary healthcare teams who cross professional cultures to work more effectively together. The principles guiding her approach to these sessions include a focus on self-awareness and self-mastery, intercultural awareness, and project management strategies.

We invite all young people to come and visit us on the 3rd of October 2015 for a very inspiring moment on how to be a good leader.

Questions: Mauritius Youth Parliament, Session 1

Le 25 septembre, YUVA organise un atelier pour trouver des solutions pour améliorer la qualité de vie de nos animaux.

C’est fini l’époque où les animaux n’étaient appréciés en fonction de leur utilité. Désormais, ils éveillent en nous de vraies émotions et nous sommes nombreux à les considérer comme faisant partie de la famille. Qu’est-ce qui suscite en nous cet amour pour ces petits êtres sans défense? C’est peut-être le fait que nos animaux domestiques nous donnent un amour inconditionnel et peut importe qui est son maitre, son animal l’idolâtra. Si l’humain peut devenir l’ange gardien d’un animal il est également son ennemi. Regardez donc autour de vous, si un enfant dit adorer les chiens, certains adorent taquiner les chats en tirant leurs oreilles ou en écrasant leurs queues. Combien de fois avons-nous arraché les ailes des mouches sans états d’âme? Selon Freud, « l’enfant est un pervers polymorphe qui fait feu de tout bois pour satisfaire ses pulsions ». Cependant, en grandissant, ils changent et traitent bien les animaux car ils trouvent en eux des amis. Malheureusement, si Maurice est connu comme l’ile paradisiaque, il ne l’est pas pour la race canine.

Question 1

Doberman, American Staffordshire et autres molosses sont considérés comme étant dangereux. Cependant, malgré l’interdiction d’importer ces chiens de races, on voit que les Mauriciens sont nombreux à vendre ces chiens sur les réseaux sociaux. Nous savons qu’entre 2012 à 2014 nous avons eu plus de 5 cas d’attaques contre l’homme. Le ‘Dangerous Dogs Bill’ avait prévu d’interdire l’importation d’une vingtaine de races, parmi le Rottweiller. Ce projet de loi parviendra-t-il à mettre fin aux attaques de molosses?

Qu’est-ce que les autorités concernées font pour renforcer les lois contre l’importation de ces molosses ?

Question 2

Nous constations que les Mauriciens sont nombreux à vendre toutes sortes de chiens sur Facebook. Parmi nous repérons les griffons, les Rottweilers, les Bergers Allemands et les Doberman. Or la majorité de ces personnes n’ont pas de permis et ne nourrissent ces animaux dans de mauvaises conditions. Le frais d’enregistrement pour 1-5 chiens est à Rs 10 000, 6-10 chiens à Rs 25 000 et plus de 10 à Rs 100 000. Les éleveurs sont nombreux à ne pas avoir un permis et en conséquent les autorités n’arrivent pas à faire un suivi sur les conditions de vie des chiens.

Ne croyez-vous pas que si les autorités concernées baissaient le cout de ce frais d’enregistrement, plus de personnes auraient respecté la loi en ayant leur permis d’éleveurs comme la loi le recommande?

Question 3 et 4

La MSAW enfreignent toutes les lois sur le respect des animaux, sans exception. Des chiens errants, capturés aux quatre coins de l’île, sont poussés hors de fourgonnettes à coups de jets d’eau glacée dès leur arrivée à la fourrière. Ils sont ensuite entassés en meutes dans des niches insalubres, où ils attendront durant trois jours la mort. Pire encore, la mise à mort des chiens est réalisée avec une extrême brutalité. Le gouvernement avait aboli l’euthanasie, et promu une nouvelle politique pour l’éradication des chiens errants en ligne avec les pratiques internationales. Malheureusement, après les dernières élections, le ministre du Tourisme et le ministre de l’Environnement ont décidé de rétablir l’euthanasie, et ont lancé une vaste campagne d’éradication.

Est-ce que l’euthanasie est une solution pour éradiquer le problème des chiens errants? Que fait le gouvernement pour cesser ces pratiques barbares envers les animaux ?

Question 5

La majorité de nos chiens errants ont un maitre qui les a abandonnés. Les statistiques disent qu’il y a une population de 57 000 chiens errants et que parmi 20 % ont des maitres qui les laissent se promener librement dans les rues. Certains maitres les abandonnent carrément sur le parking d’un super marché ou dans un endroit retiré.

Pour mettre fin à ce problème, le gouvernement ne devrait-il pas mettre une loi pour obliger les propriétaires des chiens à déclarer leurs animaux de compagnie?

Question 6 et 7

En 2014, le Ministère de l’Agro Industry avait fait un projet pilote « Mauritius Humane Dog Population Management ». Dans ce projet, les autorités concernées voulaient collaborer avec les différentes ONG pour faire une grande campagne de stérilisation à travers l’ile. Ce projet incluait de recruter plusieurs vétérinaires afin de les former pour aller dans plusieurs districts pour stériliser les animaux.

Combien de nouveaux vétérinaires a-t-on recruté dans le secteur public?

Ce projet parlait également de trouver un car automobile équipéé de tous les matériels adéquats pour bouger dans la localité des propriétaires étant donné que certaines personnes ne peuvent pas se déplacer dans les différents centres pour stériliser leurs chiens?

Est-ce que projet a été mis en place? Combien de chiens a-t-on stérilisé jusqu’à présent?

Question 8

Nous savons que PAWS recueille les animaux pour lui trouver un foyer. Est-ce que la MSAW en fait de même ou tue-t-elle tous les chiens capturés?

Nous savons que sur les réseaux sociaux, une bonne poignée de personnes sont en train de chercher des familles pour les chiens errants spécialement les chiots.

Est-ce que les autorités ne devraient-ils pas encourager ces personnes en les fournissant l’aide nécessaire incluant de la nourriture ou des vaccins gratuits en attendant que ces personnes trouvent un foyer pour les animaux?

Question 9

Malgré la campagne intensive Save Our Monkeys lancée par la British Union Against Vivisection (BUAV) à Maurice, la vente de singes aux laboratoires étrangers pour les besoins de la recherche médicale ne ralentit pas. En 2014, de janvier à juin 4 918 macaques ont été exportés. Entre janvier et juin 2010, 3 088 primates ont été exportés pour une somme totale de Rs 367,5 millions, soit une moyenne d’environ Rs 120 000 par animal. L’exportation de singes pour des recherches médicales se font notamment en France, Italie, Allemagne, Canada, Mexique, Singapour, Espagne, le Royaume-Uni et Etats-Unis. Ils sont attrapés par la queue ou les pattes et balancés dans une cage ; d’autres sont tatoués sans anesthésie ou se font enfoncer des aiguilles dans les paupières… Ce serait là le traitement infligé à des macaques dans une ferme mauricienne.

Que compte faire les autorités pour donner un meilleur traitement aux singes? 

Question 10

Il faudrait savoir que Maurice n’a pas seulement un problème de chiens errants mais également de chats errants qui finissent souvent sous les roues des voitures. Un couple de chats non stérilisés peut engendrer une descendance de plus de 20 000 chats en quatre ans? À PAWS les chats sont nombreux à attendre qu’une famille les adopte. Ce qui est difficile car arrivé à l’âge adulte, les chats ont des difficultés à s’habituer à un étranger.

Nous parlons de stérilisation des chiens, qu’est-ce que les ONG et le gouvernement fait en ce qui concerne les problèmes de chats errants?

YUVA souhaite une bonne fête de l’Eid-al-Adha à tous les musulmans

Alors que la semaine dernière nous avons fêté le Ganesh Chaturti, les musulmans, eux, célébreront l’Eid-al-Adha, aussi connue comme Bakr-Eid, ce jeudi 24 septembre 2015.

L’Eid-al-Adha aussi connu comme Bakr-Eid est célébrée le 10e jour du dernier mois du calendrier islamique, Dhu al-Hijjah. Les musulmans célèbre cette fête pour commémorer le jour où Abraham a accepté de sacrifier la vie de son fils sous l’ordre de Dieu. Ce dernier voulant le mettre à l’épreuve a cependant substitué son fils Ismaël par un mouton à la dernière minute. Tous les ans, les musulmans célèbrent ainsi l’Eid-al-Adha en souvenir de la soumission d’Abraham à la volonté de Dieu.

L’Eid-al-Adha marque également la fin du pèlerinage à la Mecque. Le Hadj est le cinquième pilier de l’Islam, les quatre précédents étant (i) la « shahada » — la foi dans l’unicité de Dieu et de la prophétie du prophète Mahomet (pssl) ; (ii) la « swalaat » — les cinq prières quotidiennes ; (iii) le « saum », le jeûne du mois du Ramadan ; et (iv) la « zakat », l’aumône aux pauvres .Pour cette occasion, les musulmans devront procéder au « Qurbani » ce qui est de sacrifier un bœuf. Rituel qui se déroule en présence de religieux, entre autres, car l’abattage doit être fait selon les règles islamiques précises. Les célébrations se poursuivront autour d’un bon briani entre familles et amis. Il est à noter que la viande du bœuf est reparti en 3 parts : une pour le musulman et les siens, une autre pour les proches et membres de la famille et la dernière qui sera distribuée aux pauvres et démunis de la communauté.

Cette fête qui est plus qu’un simple événement religieux est l’occasion pour se rencontrer avec la famille et les proches, elle est aussi synonyme de partage et de générosité envers les pauvres et les nécessiteux.

Tous les YUVANs se rejoignent pour souhaiter à tous les musulmans une bonne fête de l’Eid-al-Adha.

Portrait: Yudish Kutwaroo, Président de YUVA District Rivière du Rempart

À 24 ans, Yudish Kutwaroo n’a pas froid aux yeux et est toujours disponible pour se mettre au service des autres. Le Président de YUVA District Rivière du Rempart a adhéré justement l’association YUVA pour se regrouper avec d’autres travailleurs sociaux pour améliorer la qualité de vie de nos compatriotes.

Détenteur d’un BSc (Hons) Business Economics with Information System, ACCA Work, il travaille actuellement dans le secteur bancaire à la MCB depuis déjà trois ans.

Alors qu’il a commencé le bénévolat depuis le collège, des années plus tard, nous faisons face à un jeune qui jongle entre plusieurs activités : travail social, ses études, son travail, sa famille… Et surtout le désir d’aider les plus vulnérables. Head boy du collège Ramsoondur Prayag SSS, il a parrainé plusieurs projets dans son collège avec la collaboration de ses enseignants et amis pour venir en aide aux autres. Encouragé par ses parents, il a continué son parcours dans le bénévolat à l’Université de Maurice en étant membre de la Students’ Union (SU).

yudish5
Yudish Kutwaroo à Grand Bassin pour la fête de Maha Shivratree.

 «  J’ai toujours eu le désir d’aider les personnes dans le besoin et c’est pour cela que j’ai choisi YUVA. Sachant qu’étant seul je ne pourrais pas faire grand-chose, j’ai décidé de m’associer avec les jeunes qui ont la même vision et les mêmes motivations que moi car ne l’oublions pas l’unité fait la force ».

Yudish Kutwaroo avec la Présidente de Maurice, Honorable Ameenah Gurib-Fakim.
Yudish Kutwaroo avec la Présidente de Maurice, Honorable Ameenah Gurib-Fakim à la lancement officielle de YUVA.

Son rêve ? C’est de réussir à motiver les jeunes à se bouger pour améliorer notre société en essayant d’éradiquer la pauvreté et les fléaux qui dominent la société. Sa devise: ”Don’t ever say that the sky is the limit when there are footprints on the moon”.

J’ai adhéré YUVA depuis sa création et je suis le Président du district de Rivière du rempart. J’ai un grand sens d’appartenance pour cette ONG qui fait tous pour le développement des jeunes et aussi parce que j’ai déjà travaillé avec Krishna Athal, le Président de YUVA dans le passé. C’est quelqu’un qui m’inspire énormément de par son professionnalisme et de par la vision qu’il a pour la société. Voilà une des raisons pourquoi je tiens tant à m’associer à YUVA ».

Yudish avec les YUVANs de l’Amitié.
Yudish Kutwaroo avec certains YUVANs de l’Amitié, Cottage et Gokoolah.

Yudish Kutwaroo est un jeune très dévoué et c’est lui qui a parrainé le tout premier projet de YUVA qui consistait à faire des donations aux pèlerins lors de la fête Maha Shivratree. Nous avons eu l’occasion de montrer nos motivations et de donner un exemple aux autres jeunes en rassemblant les YUVANs de toutes les religions ensembles.

Yudish Kutwaroo à Grand Bassin.
Yudish Kutwaroo à Grand Bassin pour la fête de Maha Shivratree.

Son prochain objectif est de rassembler des nouveaux membres dans chaque village afin de se mettre aux services des pauvres. Il a le désire de mettre les YUVANs à la proximité du peuple. Il a pour un début déjà créé des YUVA dans quelques villages tels que Rivière du Rempart, Plaines des Roches, L’Amitié, Gokoolah, Cottage, Belle Vue Maurel, Petit Raffray et Grand Baie. Pour le moment c’est une belle réussite car nous travaillons très durs pour organiser des activités afin de nous faire connaitre.

Internship for Graphic Designer at YUVA

We are looking for smart and motivated interns in Mauritius that are interested in a career in graphic designing work.

They must have strong organisational skills, drive, and can fulfil their commitments. We need an intern that can work five days a week – Monday and Friday. This is an unpaid internship, but an incredible opportunity for exposure into the NGO world is guaranteed. We will provide transport allowance.

General tasks for the Graphic Designer

  • Prepares work to be accomplished by gathering information and materials.
  • Plans concept by studying information and materials.
  • Illustrates concept by designing rough layout of art and copy regarding arrangement, size, type size and style, and related aesthetic concepts.
  • Obtains approval of concept by submitting rough layout for approval.
  • Prepares finished copy and art by operating typesetting, printing, and similar equipment; purchasing from vendors.
  • Prepares final layout by marking and pasting up finished copy and art.
  • Ensures operation of equipment by completing preventive maintenance requirements; following manufacturer’s instructions; troubleshooting malfunctions; calling for repairs; maintaining equipment inventories; evaluating new equipment.
  • Completes projects by coordinating with outside agencies, art services, printers, etc.
  • Maintains technical knowledge by attending design workshops; reviewing professional publications; participating in professional societies.
  • Contributes to team effort by accomplishing related results as needed.

Job application form: Download Here

NOTE: After completing the job application form, please convert it to .PDF format and send it, along with a Cover Letter, to the following e-mail address: job.yuvamauritius@gmail.com

Ne plus acheter des produits de beauté testés sur les animaux: YUVA

Si la loi interdit les tests de produits de beauté sur les animaux, les entreprises sont nombreux à continuer cet acte de barbarie envers les lapins et les rongeurs. En marge de son atelier sur la protection des animaux qui aura lieu le 25 septembre, YUVA décourage les Mauriciens à acheter ces produits et vous donne des conseils comment bien regarder les cosmétiques que vous achetez.

Mascaras, rouges à lèvres et crèmes en tous genres… Avant de les utiliser, tous nos cosmétiques sont testés par leur fabricant pour évaluer leur efficacité et pour tester leurs effets toxicologiques.  Alors que ceux qui respectent la loi utilisent des tissus humains reconstruits pour leurs tests, certaines compagnies continuent toujours à utiliser les animaux comme cobayes.

Ces animaux qui subissent ces tests connaissent un vrai cauchemar car plusieurs animaux meurent pendant ces experimentations et parfois même après une longue agonie. Les survivants sont de toute façon tués ensuite pour autopsies.

Pour tester les mascaras, on utilise souvent des lapins pour mesurer l’irritabilité oculaire d’un produit. On l’administre donc sur l’oeil d’un lapin et on étudie l’évolution de la détérioration de la zone.

Comment ne pas acheter de produits testés sur les animaux?

Pour être sûr de ne pas acheter de cosmétiques qui auront été testés sur les animaux, des labels existent.  Mais parmi les labels bio, européens ou d’associations, il est parfois difficile de s’y retrouver.

Les labels bio

Les cosmétiques labellisés bio ne sont normalement pas testés sur les animaux. Normalement. Le label Cosmebio, le plus répandu en France, précise que «les produits finis labélisés COSMEBIO tout comme les matières premières à l’origine des produits ne sont pas testés sur les animaux sauf lorsque la loi l’exige». C’est bien là que le bât blesse: les marques qui commercialisent leurs produits sur le marché chinois, par exemple, sont obligées par la loi locale de tester leurs produits sur les animaux.

Le «leaping bunny»

C’est pour cette raison que des marques comme Yves Rocher, L’Occitane ou Mary Kay se sont fait retirer le label Human Cosmetics Standard, le petit lapin bleu qui saute au milieu du drapeau européen. Ce label, qui existe depuis 1998, concerne tous les produits cosmétiques commercialisé en Europe et recoupe le label attribué par l’association One Voice: 100% des ingrédients entrant dans la composition du produit ne doivent pas avoir été testés sur des animaux. Sur le site de One Voice, un moteur de recherche permet de savoir si votre fard à paupières ou votre crème pour les pieds a été testée sur des animaux ou pas.

Ce que la loi interdit

Au-delà des labels, qui sont souvent le produit d’une démarche  volontaire de la part des marques et dont les conditions d’attribution restent soumises à des contrôles plus ou moins rigoureux, la loi européenne interdit depuis 2003 de commercialiser des cosmétiques testés sur des animaux au sein de l’Union européenne. D’ici 2013, ce sont tous les tests animaux, où qu’ils aient été effectués dans le monde, qui rendront illégale la commercialisation des produits. Plus que quelques mois à attendre avant de pouvoir acheter tranquillement ses cosmétiques, sauf si les industriels arrivent à repousser la date butoir.

Climate Change Storytelling Contest

Write your best climate change story and get an opportunity to join and cover COP21

While climate change is a global phenomenon, it is hitting the world’s poorest regions – and most marginalized communities – the hardest. These changing conditions are impacting human health, economic activity, and are threatening basic human rights including access to water and food security. Climate change is already affecting local communities in low and middle income countries but stories on the negative impacts as well as on the solutions that governments, communities and individuals are implementing often get lost in the global climate change debate.

UNDP story telling contest on climate change aims to contribute to raising public awareness on the negative impacts of climate change on people and communities as well as on the opportunities and solutions seen in actions by individuals and governments in vulnerable developing countries.

The contest provides young journalists in developing countries a unique opportunity to contribute to the global debate on climate change in the run-up to COP21, while building their capacity, and providing recognition for excellence. Authors of the top two stories will be funded to attend and cover COP21.

Target Group

We target journalists 35 years of age and under from developing countries vulnerable to the impact of climate change who:

  • Are already engaged in public writing through an official media outlet
  • Have a strong interest in reporting on climate change as a contribution ­– locally and internationally – towards greater public awareness on this critical global topic
  • Are eager to seize an opportunity to build their journalistic capacity and contribute to COP21

Timeline of the Campaign

The contest was launched on August 27th. The deadline to submit an entry is October 11th 2015, with early submission encouraged. Following selection, different stories will be published every day from 2nd to 29th November. The two winning journalists will cover the climate conference in Paris.

Dissemination

Stories, once screened, scored and published on UNDP’s website, will be disseminated through partners’ channels to ensure maximum outreach and exposure. A common hashtag – #Voices2Paris – will facilitate social media integration by all partners, helping to amplify the dissemination. All materials are creative commons, encouraging further media outlets and people everywhere to make maximum use of the stories told and photos gathered.

21 September 2015: International Day of Peace

Each year the International Day of Peace is observed around the world on 21 September. The General Assembly has declared this as a day devoted to strengthening the ideals of peace, both within and among all nations and peoples.

The theme of this year’s commemoration is “Partnerships for Peace – Dignity for All” which aims to highlight the importance of all segments of society to work together to strive for peace. The work of the United Nations would not be possible without the initial partnerships that were active in its creation and the thousands of partnerships each year between governments, civil society, the private sector, faith-based groups and other non-governmental organisations that are needed to support the Organisation in achieving its future goals.

The International Day of Peace was established in 1981 by resolution 36/67PDF document of the United Nations General Assembly to coincide with its opening session, which was held annually on the third Tuesday of September. The first Peace Day was observed in September 1982.

In 2001, the General Assembly by unanimous vote adopted resolution 55/282PDF document, which established 21 September as an annual day of non-violence and cease-fire.

The United Nations invites all nations and people to honour a cessation of hostilities during the Day, and to otherwise commemorate the Day through education and public awareness on issues related to peace.

Documents

General Assembly resolutions on the International Day of Peace:

Resources

Past Observances

International Day of Peace

YUVA souhaite une bonne fête de Ganesh Chaturthi à tous les Mauriciens

YUVA souhaite un pieux Ganesh Chaturthi à tous les Mauriciens qui vont célébrer la naissance du dieu Ganesh ce vendredi 18 septembre 2015. Les YUVANs de différentes communautés se joindront aujourd’hui aux dévots de foi hindoue pour procéder au ‘Visarjan’, une cérémonie consistant à plonger une statuette du dieu Ganesh.

Après un mois de jeûne, les hindous et précisément les Marathis célébreront la naissance du dieu de l’intelligence et de la richesse. En effet, Ganesh, le fils de Dieu Shiva et Parvati est un dieu très vénéré car il est connu pour apporter la prospérité. Il a le pouvoir d’écarter les obstacles et représente la sagesse, l’intelligence, la protection du savoir et l’éducation.

Afin de montrer leur sens de patriotisme, les YUVANs de différents districts se joindront à leurs amis, familles et voisins pour fêter le Ganesh Chaturthi. Cette démarche servira à se rapprocher des autres communautés tout en promouvant la paix entre divers communautés.

Depuis un mois les Marathis se sont mis au travail pour fabriquer les statuettes de Ganesh fabriquées avec de l’argile. Celles-ci seront immergées dans les cours d’eau afin de faire leurs adieux au dieu Ganesh qui les aura accompagnés pendant ces quarante jours de jeûne. Ce rituel est pratiqué pour symboliser le retour de Ganesh dans le ciel et dans l’océan. Les dévots feront une procession pour chanter les louanges : «Ganapati bapa morya pourchiya varshi lorkarya», ce qui signifie  «toi qui portes chance, reviens-nous vite l’année prochaine» pour demander la bénédiction du dieu de l’intelligence.

Outre les louanges, les dévots apporteront des offrandes telles que des fruits et des sucreries comme le modak, les ladoos et le kanawla. Le modak est en forme de goutte d’eau et ce sont des gâteaux incontournables pour cette célébration car ils  sont les préférées du dieu Ganesh. Au menu également des danses traditionnelles comme le jakree où les jeunes se vêtiront de kashti.

La légende du dieu Ganesh :

Ganesh est né avec une tête humaine, vers l’âge de cinq ans il gardait la porte de la salle d’eau où se trouvait sa mère. Survint Shiva qui revenait de la guerre et qui ne l’avait jamais vu. Il interdit à son père de pénétrer dans la pièce où se trouvait sa mère comme elle le lui avait commandé. Furieux d’être contredit par un enfant, Shiva lui trancha la tête.
Parvati informa son mari de sa terrible méprise et lui demanda de ramener son fils à la vie. Il envoya alors ses serviteurs en leur demandant de ramener la tête de la première créature vivante qu’ils croiseraient. Et c’est la tête d’un éléphant qu’ils rapportèrent.

2015 -2016 : Le réchauffement climatique à son apogée

La sonnette d’alarme est tirée sur le réchauffement climatique. Le nouveau rapport de référence sur le réchauffement climatique, publié  par l’Institut météorologique britannique (Met Office) a été clair: il faut agir vite et, surtout, se détourner des énergies fossiles.

Alors qu’on pensait avoir connu la période la plus chaude en 2014, 2015 et 2016 devraient battre les records de chaleur jamais mesurées, selon Rowan Sutton, professeur au Centre national de Science atmosphérique.

La température moyenne à la surface de la planète a gagné 0,85 °C entre 1880 et 2012 et si on veut limiter le réchauffement de la planète, les gaz à effet de serre doivent baisser de 40 à 70 % entre 2010 et 2050 pour limiter le ­réchauffement.

Le réchauffement climatique, combiné à des phénomènes naturels tels que le courant El Niño accélère à nouveau après une décennie de relative stabilité. L’étude publiée lundi par le Met Office s’intéresse d’ailleurs beaucoup à El Niño, réapparu en mars et qui pourrait “être l’un des plus intenses dans les annales”. Le courant équatorial chaud du Pacifique, dont on estime qu’il contribuera au réchauffement mondial, aura aussi des répercussions locales : des conditions plus sèches dans certains pays asiatiques et en Australie, selon le Met Office.

Comment faire pour aider à stopper le réchauffement climatique

  1. Changez les ampoules

Remplacer une ampoule normale par une ampoule fluorescente compacte va économiser 68 Kg de dioxyde de carbone par an.

  1. Moins utiliser la voiture

Marcher, utiliser le vélo, les transports en commun, le covoiturage. Cela économisera environ 0.5 Kg de dioxyde de carbone par Km non-parcouru!

  1. Plus recycler

Vous pouvez économiser 1100 Kg de dioxyde de carbone par an en recyclant juste la moitié de vos déchets.

  1. Vérifiez vos pneus

Avoir ses pneus de voiture bien gonflés, permet de réduire sa consommation de carburant de 3%. Chaque litre de carburant économisé, correspond à 2.3 Kg de dioxyde de carbone en moins dans l’atmosphère.

  1. Utilisez moins d’eau chaude

Chauffer l’eau nécessite beaucoup d’énergie. Utilisez moins d’eau chaude en installant une douche à plus faible débit (150 Kg de CO2 économisés par an) et lavez votre linge à l’eau froide ou tiède (230 Kg de CO2 non émis).

  1. Eviter les produits avec pleins d’emballages

Vous pouvez économiser 550 Kg de dioxyde de carbone si vous réduisez vos déchets de 10%.

  1. Ajustez votre thermostat

En réduisant votre thermostat de 2 degrés en hiver et en l’augmentant de 2 degrés en été (clim), vous économiserez plus de 900 Kg de CO2 par an avec ce faible ajustement.

  1. Plantez un arbre

Un seul arbre absorbera une tonne de dioxyde de carbone durant sa vie.

  1. Eteignez vos appareils électroniques

Eteignez simplement votre télévision, lecteur DVD, chaîne stéréo et ordinateur quand vous ne les utilisez pas, et vous sauverez l’atmosphère de plusieurs centaines de kilogrammes de dioxyde de carbone par an.

Dhana Lalljawheer
Secrétaire générale YUVA

Commonwealth Scholarships for Master’s and PhD study – developing Commonwealth country citizens

Commonwealth Scholarships for Master’s and PhD study in the UK are offered for citizens of developing Commonwealth countries. These scholarships are funded by the UK Department for International Development (DFID), with the aim of contributing to the UK’s international development aims and wider overseas interests, supporting excellence in UK higher education, and sustaining the principles of the Commonwealth. For information on other scholarships offered by the CSC, visit our Apply page.

You can apply for a Commonwealth Scholarship for the following levels of study:

  • Master’s (one-year courses only)
  • PhD

All subject areas are eligible, although the CSC’s selection criteria give priority to applications that demonstrate the strongest relevance to development.

You should apply to study at a UK university with which the CSC has a part funding agreement. Click here for a list of UK universities which have part funding agreements with the CSC

Eligibility

To apply for these scholarships, you must:

  • Be a Commonwealth citizen, refugee, or British protected person
  • Be permanently resident in a developing Commonwealth country
  • Be available to start your academic studies in the UK by the start of the UK academic year in September/October 2016
  • By October 2016, hold a first degree of at least upper second class (2:1) honours standard, or a second class degree and a relevant postgraduate qualification (usually a Master’s degree)

The CSC promotes equal opportunity, gender equity, and cultural exchange. Applications are encouraged from a diverse range of candidates. The CSC is committed to administering and managing its scholarships and fellowships in a fair and transparent manner – for more information, see the CSC anti-fraud policy.

Terms and conditions

For full terms and conditions, see the Commonwealth Scholarships 2016 prospectus

Selection process

Each year, the CSC invites selected nominating bodies to submit a specific number of nominations. The deadline for nominating bodies to submit nominations to the CSC is 17 December 2015.

The CSC invites around three times more nominations than scholarships available – therefore, nominated candidates are not guaranteed to be awarded a scholarship. There are no quotas for scholarships for any individual country. Candidates nominated by national nominating agencies are in competition with those nominated by other nominating bodies, and the same standards will be applied to applications made through either channel.

Each nominated candidate’s application is first considered by a member of the CSC’s panel of advisers with expertise in the subject area concerned, and then by the CSC’s selection committee in competition with other candidates.

Applications are considered according to the following selection criteria:

  • Academic merit of the candidate
  • Quality of the proposal
  • Potential impact of the work on the development of the candidate’s home country

For further details, see the Selection criteria for 2016 Commonwealth Scholarships for Master’s and PhD study

You may also find the Feedback for unsuccessful candidates useful.

How to apply

You must apply to one of the following nominating bodies in the first instance – the CSC does not accept direct applications for these scholarships:

All applications must be made through your nominating body in your home country. Each nominating body is responsible for its own selection process. You must check with your nominating body for their specific advice and rules for applying, and for their own closing date for applications. The CSC does not impose any age limit on applicants, but nominating bodies may do so in line with their own priorities.

You must make your application using the CSC’s Electronic Application System (EAS). Click here for full information on how to use the EAS, including detailed guides.

Your application must be submitted to and endorsed by one of the approved nominating bodies listed above. The CSC will not accept any applications that are not submitted via the EAS to a nominating body in your home country.

All applications must be submitted by 23.59 (GMT) on 19 November 2015 at the latest. Please note that this is an earlier deadline than in previous years

YUVA lance un appel à la générosité des Mauriciens pour donner leur sang

L’heure est grave. La banque du sang de Maurice a annoncé ce lundi 14 septembre 2015 qu’elle ne disposait qu’un stock pour que 4 jours et qu’il n’y a plus de sang des groupes A+ et O+.

YUVA lance un appel à tous les YUVANs et à tous les Mauriciens du groupe A+ et O+ de venir faire don de leur sang afin de sauver des vies et d’éviter les drames.

Il faut savoir que 150 pintes de sang sont nécessaires tous les jours dans nos hôpitaux et cliniques privées pour sauver la vie des personnes qui font des d’opérations du cœur, pour les dialysés, pour les personnes qui ont besoin d’une transfusion de sang, pour les cancéreux et pour les enfants atteints de thalassémie. Le pays a besoin de 3500 pintes chaque mois et il n’y a que 2,5% de la population qui fond le don de sang au lieu de 5%.

On a constamment besoin d’un approvisionnement régulier en sang parce que ce dernier ne se conserve que pendant une durée limitée avant utilisation. Des dons de sang réguliers par un nombre suffisant de personnes en bonne santé sont nécessaires pour que l’on puisse disposer de sang sécurisé partout et à tout moment.

Rapporté par le journal Le Matinal, le président de la Blood Donors Association se dit inquiet car si on ne collecte pas le nombre de pintes de sang nécessaires, nos malades vont être pénalisés et on risque de frôler la catastrophe.

Alors que la banque du sang avait recueilli 148 000 de pintes l’an dernier, nous n’avons que 1500 pintes dans le stock. Faire le don de votre sang c’est sauver une vie  et est un acte de générosité envers nos compatriotes. Il n’est pas difficile de donner son sang, il suffit d’être âgé entre 18- 60 ans et de peser au moins 45 kg.

Un appel urgent est fait à la population pour des dons de sang. YUVA compte sur les Mauriciens pour remplir le stock de sang. Le YUVA de Pamplemousses a récemment organisé une collecte de sang à Grand-Baie où on a récolté plus de 40 pintes de sang. Cependant, ce n’est pas suffisant car le régime est à sec.

En donnant un peu de votre sang, vous allez peut-être sauver la vie d’une personne de votre famille ou sauver la maman d’un futur orphelin.

15 September 2015: International Day of Democracy

Overview

Democracy is a universally recognized ideal and is one of the core values and principles of the United Nations.

Democracy provides an environment for the protection and effective realization of human rights. These values are embodied in the Universal Declaration of Human Rights and further developed in the International Covenant on Civil and Political Rights, which enshrines a host of political rights and civil liberties underpinning meaningful democracies.

United Nations activities in support of democracy and governance are carried out through the United Nations Development Programme (UNDP), the United Nations Democracy Fund (UNDEF), the Department of Peacekeeping Operations (DPKO), the Department of Political Affairs (DPA), the Office of the High Commissioner for Human Rights (OHCHR),and the United Nations Entity for Gender Equality and the Empowerment of Women (UN Women), among others. Such activities are inseparable from the UN’s work in promoting human rights, development, and peace and security, and include:

  • assisting parliaments to enhance the checks and balances that allow democracy to thrive;
  • helping to strengthen the impartiality and effectiveness of national human rights institutions and justice and security systems;
  • helping to develop legislation and media capacities to ensure freedom of expression and access to information;
  • assisting to develop policies and legislation to guarantee the right to freedom of association and of peaceful assembly;
  • providing electoral assistance and long-term support for electoral management bodies;
  • promoting women’s participation in political and public life.
Over the past 20 years the United Nations has provided various forms of electoral assistance to more than 100 countries — including advisory services, logistics, training, civic education, computer applications and short-term observation.

Democracy has emerged as a cross-cutting issue in the outcomes of the major United Nations conferences and summits since the 1990s and in the internationally agreed development goals they produced. World leaders pledged in the Millennium Declaration to spare no effort to promote democracy and strengthen the rule of law, as well as respect for human rights and fundamental freedoms. The Outcome Document of the post-2015 negotiations, “Transforming Our World: the 2030 Agenda for Sustainable Development”, to be adopted by Heads of State and Heads of Government on 25-27 September 2015, reaffirms this commitment to a world in which “democracy, good governance and the rule of law as well as an enabling environment at national and international levels, are essential for sustainable development”.

The UN General Assembly has reaffirmed that “democracy is a universal value based on the freely expressed will of people to determine their political, economic, social and cultural systems and their full participation in all aspects of their lives,” as previously stated in the outcome document of the World Summit in September 2005.  At that summit governments renewed their commitment to support democracy and welcomed the establishment of a Democracy Fund at the United Nations.  The large majority of UNDEF funds go to local civil society organizations for projects that strengthen the voice of civil society, promote human rights, and encourage the participation of all groups in democratic processes.

The UN supports women’s political participation, including efforts to increase the share of women elected into office and to build women’s capacity as effective legislators once elected. In July 2010, as part of a resolution on system-wide reform, the United Nations General Assembly created UN Women, mandated to coordinate the gender mainstreaming work of the UN System . In doing so, UN Member States took an historic step in accelerating the Organization’s goals on gender equality and the empowerment of women.

2015 Theme: Space for Civil Society

On 8 November 2007, the General Assembly proclaimed 15 September as the International Day of Democracy, inviting Member States, the United Nations system and other regional, intergovernmental and non-governmental organizations to commemorate the Day. The International Day of Democracy provides an opportunity to review the state of democracy in the world. Democracy is as much a process as a goal, and only with the full participation of and support by the international community, national governing bodies, civil society and individuals, can the ideal of democracy be made into a reality to be enjoyed by everyone, everywhere.

Globally, the role of civil society has never been more important than this year, as the world prepares to implement a new development agenda, agreed to by all the world’s Governments. However, for civil society activists and organizations in a range of countries covering every continent, space is shrinking — or even closing — as some Governments have adopted restrictions that limit the ability of NGOs to work or to receive funding.

That is why the theme of this year’s International Day of Democracy is “Space for Civil Society.” It is a reminder to Governments everywhere that the hallmark of successful and stable democracies is the presence of a strong and freely operating civil society — in which Government and civil society work together for common goals for a better future, and at the same time, civil society helps keep Government accountable.

“Civil society is the oxygen of democracy. Civil society acts as a catalyst for social progress and economic growth. It plays a critical role in keeping Government accountable, and helps represent the diverse interests of the population, including its most vulnerable groups.”

Secretary-General Ban Ki-moon

For more information, see Democracy and the United Nations.

(Source: United Nations, 2015) 

La vivisection : un mal contre les singes mais un bien pour les humains ?

Le 25 septembre 2015 aura lieu notre première session de Mauritius Youth Parliament sur la protection des animaux à Maurice. Parmi les problèmes que font face nos animaux sont la vivisection de nos singes exportés dans des pays étrangers.

Malgré la campagne intensive Save Our Monkeys lancée par la British Union Against Vivisection (BUAV) à Maurice, la vente de singes aux laboratoires étrangers pour les besoins de la recherche médicale ne ralentit pas. En 2014,  de janvier à juin 4 918 macaques ont été exportés. L’exportation de singes pour des recherches médicales se fait notamment en France, Italie, Allemagne, Canada, Mexique, Singapour, Espagne, le Royaume-Uni et Etats-Unis.

Le voyage vers les laboratoires est épouvantable pour ces animaux déjà traumatisés, mais ce n’est rien par rapport à ce qui les attend : expérimentations de toutes sortes, puis mise à mort. Ils sont attrapés par la queue ou les pattes et balancés dans une cage et d’autres sont tatoués sans anesthésie ou se font enfoncer des aiguilles dans les paupières…Ils font souvent l’objet de tests de toxicité (médicaments, produits chimiques) ou d’expérimentations neurologiques impliquant le plus souvent des perçages de la boîte crânienne. Les animaux sont soumis à une souffrance extrême dans des expériences cruelles et sans intérêt. Ils peuvent subir, entre autres, des actes chirurgicaux invasifs sans anesthésie, des inhalations forcées de gaz nocif, des gavages de produits chimiques et l’injection de poisons. Pour les vivisecteurs, les animaux ne sont ni plus, ni moins, que du « matériel de laboratoire » mis à leur disposition.

Si nous avons plusieurs personnes qui sont contre cet acte de barbarie, nous avons de l’autre côté les partisans qui disent que cette pratique est un mal pour un bien. Certains scientifiques affirment que c’est une pratique incontournable pour trouver des solutions vers l’avancement  médical. Selon une interview réalisée par le journal le Mauricien, le Dr Paul Honess, consultant en Primate Behaviour and Welfare au groupe Bioculture a déclaré : « Malheureusement, à ce jour, l’utilisation des animaux pour la recherche médicale est le meilleur moyen de trouver des solutions contre les maladies. La vivisection est importante pour sauver des vies humaines. Je peux vous assurer que tout est fait pour que les singes souffrent le moins possible en laboratoire. Le singe est l’animal qui coûte le plus aux laboratoires pour les recherches. Toutefois, il est le plus sûr. Sa physiologie est la plus rapprochée de l’être humain. Pour avoir les résultats les plus exacts, on a besoin de l’animal qui se rapproche le plus de notre système ».

animal-welfare

Dhana Lalljawheer
Secrétaire générale YUVA